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Tous les Économistes ont tenté d’expliquer ou comprendre l’origine de la richesse d’une nation.  Pourquoi un pays est-il riche et l’autre pauvre?

La production de valeur et de marchandises est très distincte. Les études scientifiques ont démontré qu’au XVIIIème siècle dans les périodes de sécheresse où la production agricole baissait, le revenu des paysans augmentait.

La richesse d’un paysan se sépare donc avec sa production quantitative

L'économiste classique Auguste Walras dans son ouvrage "De la nature, de la Richesse et l'origine de la valeur" distingue la valeur et la production, aussi il démontre que la richesse ancienne et nouvelle ne sont pas identiques.

Nous pouvons également démontrer que la richesse de l’ère Walras et d’aujourd’hui sont différentes.  La production sortie de la terre et celle fabriquée dans l’usine n’ont pas les mêmes natures, pour les physiocrates l’une est production l’autre transformation, l’une est utile, l’autre stérile.

         Quand 90% de notre production résulte de la terre, ce raisonnement n’est pas surprenant.  Néanmoins une petite usine produit plus de valeur qu’une grande ferme.  L’évolution de la pensée économique dans ces conditions est obligatoire.

Quand les activités stériles deviennent utiles, le pays est condamné à se tourner vers l’industrialisation.

L’agriculture ayant perdu sa main-d’œuvre est la victime de l’industrialisation Dans l’avancement vers le progrès, cette victime en est également la première profiteuse.  Les usines qui ont pompé la main-d’œuvre agricole ont donné aux fermes en échange, les machines et les engrais fabriqués par les paysans devenus ouvriers.

La production quantitative de l’agriculture non seulement dans ces pays n’a pas diminué mais elle a augmenté.  Par contre, la production proportionnelle de l’agriculture s’est fortement réduite.

Les pays, avec le taux élevé de la population agricole, sont fortement dépendants de l’importation des données alimentaires.

Les pays grands exportateurs de produits agricoles ont un taux de population très réduit dans ce secteur. Néanmoins, les pays importateurs de produits alimentaires, sont les pays dans lesquels l’agriculture représente presque l’activité principale.

Que peut-on faire de cette étrange observation?  Nous ne pouvons pas prêcher, détruire l’agriculteur pour augmenter la production agricole.

Tous les pays dépendant de l’importation de produits alimentaires sont ceux qui dépensent un budget important pour la subventionner.

Les pays en voie de développement envoient leurs meilleurs étudiants dans les pays industrialisés afin de leur apprendre à faire face à la dépendance de nourriture. Il est naïf de croire que nos chercheurs, formés à l’école de nos fournisseurs, peuvent nous aider à devenir indépendants.